Décision avait été prise de profiter des quelques heures restant avant le coup de vent annoncé pour aller tirer quelques bords et éventuellement pêcher
Bref une grosse bête, en tout cas la plus grosse pêchée avec
mes petites mains depuis des décennies de navigation. Le cadeau du
franchissement du 71ème. Lorsque la canne à pêche s’est pliée en
deux, j’ai cru que j’avais encore accroché la ligne au fond, malgré les 50
mètres qu’affichait le sondeur. Eh bien non, c’était bel et bien la bête
ramenée à bord avec bien du mal, car évidemment, elle ne rentrait pas dans le
seau !
Le dépeçage n’a pas été une mince affaire, et il a fallu plonger la main au fond des tripes pour récupérer hameçon et leurre.
Son affaire fut faite en 2 repas, mais l’assiettée n’était
nullement comparable au filet de cabillaud servi dans les restaus.
La tête placée
dans le casier n’a permis que de ramener des étoiles de mer obèses, et quelques
malheureux bulots
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