dimanche 10 juin 2012

de Skjervoy à Sommaroy (mise à jour)

pas de vrai acces internet donc pas de photos pour l'instant. j'ai profite du vent de nord est pour passer plutot à l'exterieur des iles.



Au final, je crois bien avoir croisé les 10 navires de l’Hurtigruten.



Cette photo ne servira sûrement pas de pub, d’une part pour raison de grisaille et d’autre part le Vesteralen est l’un des plus vieux et n’offre pas un magnifique salon de pont panoramique à l’avant.

Une ultime photo des Alpes de Lyngen, en l’occurrence le massif de la dernière randonnée, tant ensoleillée. Isbjorn était mouillé au pied du vallon. Moins gai, bien sûr mais surtout beaucoup moins de neige



Vers le sud ouest le paysage s’adoucit, toujours des montagnes et des maisons isolées, mais un cadre nettement plus verdoyant.



Une situation déjà vue il y a bien longtemps : au ‘large’, ici vers le nord ouest, un paysage quasi méditerranéen, et vers l’intérieur, le sud est, nuages et brumes.



Changement radical de décor en arrivant à Sommaroy : de belles plages de sable fin où il est bon de laisser sa trace , des chalets proprets avec des gazons bien tondus, des moutons, des chevaux et des poules, cela fait du bien après l’austérité du grand nord.







Par certains cotés on se croirait en Ecosse ou Irlande, voire en Bretagne



Une centaine d’habitants permanents, port de pêche actif (3 usines de conditionnement), mais aussi lieu de villégiature et de pêche de loisir (mâles allemands apparemment), avec ‘rorbuers’ flambant neufs et chalets coquets au gazon impeccable. Bref un sentiment de grande sérénité



Cela dit je me demande bien ce qu’avait bu l’architecte ou le charpentier qui a conçu ce système de pilotis :



Certaines prairies de l’île servent manifestement de lieu de nidification d’un certain nombre d’oiseaux (j’ai identifié goeland, sterne et pie-huitrier). Du coup, sortir des sentiers expose à beaucoup de criaillements et quelques piqués agressifs en direction du crâne !

Un petit soleil de minuit




Deux parenthèses.
1)      Les norvégiens se targuent d’être sensibilisés et respectueux de l’environnement. Vu le nombre d’engin de ce genre d’engins que j’ai aperçu un peu partout, il y a encore un peu de chemin à faire



2)      A chaque fois que je mouille le casier je récupère, accrochés comme des sangsues à l’appât, des bulots et des étoiles de mer en général peu appétissantes. Cela se mange-t-il, un peu comme les poulpes ??? Si oui, j’ai raté quelques festins car évidemment je les rejette à l’eau. 


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire